Lundi 14 : Je suis allée cherchée les actes de donations. J'ai également appelé l'huissier afin qu'il nous assiste lors de la pré visite de remise des clés. Puis enfin, récupérer les assurances décennales du maçon qui va nous faire le mur.
Mardi 15 : Thierry a re rendez-vous à la banque. Résultat : + 190 euros par mois pendant cinq ans. Le banquier va venir nous faire signer les papiers jeudi soir.
Mercredi 16 : pré visite. Il reste encore toutes les finitions à faire. Il y a des trous à boucher au bas des murs, les gaines électriques qui alimentent le chauffage au sol à rentrer dans le mur, etc.... L'huissier est venu en retard, du coup, quand il est arrivé, nous avons vu Monsieur M. devenir blanc et visiblement très mal le prendre (je l'avais pas prévenu). "oui... vous auriez du me prévenir, normalement le chantier est interdit à tout professionnel du bâtiment ou autres sans mon accord (j'ai cherché dans le contrat, j'ai rien vu)" nous lui expliquons que c'est pour nous protégé et bla bla bla. Il est revenu au moins trois fois sur le sujet. A la fin, il nous promet que son finisseur va venir demain ou vendredi, et nous annonce la remise des clés pour lundi 21 juin à 14h30.
Jeudi 17 : Personne, étonnant....
Vendredi 18 : Le finisseur est là. A mon grand étonnement, c'est l'un des plaquistes qui est là. (Thierry m'explique qu'en fait il a quitté sa boite, que son ex patron ne veux pas finir, et que Monsieur M., qui lui avait promis du boulot, l'a engagé pour les finitions....). L'après-midi, je visite le chantier avec l'oncle de Thierry. Nous tombons sur Monsieur M. Il me ressert le même discours qu'avec l'huissier. Puis le ton est monté entre les deux hommes, mais heureusement est redescendu. Je reste avec Monsieur M. qui me reparle de la présence de l'huissier, il me parle de confiance, je lui répond que quand il me répond toujours à côté, ça n'inspire pas la confiance. Il me demande un exemple. Je lui en donne un tout ressent. Lors de la pré visite, je lui ai demander comment ils allaient faire pour encastrer les gaines, il m'a répondu, mon finisseur connaissait son boulot. Il me répond qu'à sa décharge il était énervé. Ben voyons... et les autres fois, il était énervé?
Ça promet pour lundi....
Mardi 15 : Thierry a re rendez-vous à la banque. Résultat : + 190 euros par mois pendant cinq ans. Le banquier va venir nous faire signer les papiers jeudi soir.
Mercredi 16 : pré visite. Il reste encore toutes les finitions à faire. Il y a des trous à boucher au bas des murs, les gaines électriques qui alimentent le chauffage au sol à rentrer dans le mur, etc.... L'huissier est venu en retard, du coup, quand il est arrivé, nous avons vu Monsieur M. devenir blanc et visiblement très mal le prendre (je l'avais pas prévenu). "oui... vous auriez du me prévenir, normalement le chantier est interdit à tout professionnel du bâtiment ou autres sans mon accord (j'ai cherché dans le contrat, j'ai rien vu)" nous lui expliquons que c'est pour nous protégé et bla bla bla. Il est revenu au moins trois fois sur le sujet. A la fin, il nous promet que son finisseur va venir demain ou vendredi, et nous annonce la remise des clés pour lundi 21 juin à 14h30.
Jeudi 17 : Personne, étonnant....
Vendredi 18 : Le finisseur est là. A mon grand étonnement, c'est l'un des plaquistes qui est là. (Thierry m'explique qu'en fait il a quitté sa boite, que son ex patron ne veux pas finir, et que Monsieur M., qui lui avait promis du boulot, l'a engagé pour les finitions....). L'après-midi, je visite le chantier avec l'oncle de Thierry. Nous tombons sur Monsieur M. Il me ressert le même discours qu'avec l'huissier. Puis le ton est monté entre les deux hommes, mais heureusement est redescendu. Je reste avec Monsieur M. qui me reparle de la présence de l'huissier, il me parle de confiance, je lui répond que quand il me répond toujours à côté, ça n'inspire pas la confiance. Il me demande un exemple. Je lui en donne un tout ressent. Lors de la pré visite, je lui ai demander comment ils allaient faire pour encastrer les gaines, il m'a répondu, mon finisseur connaissait son boulot. Il me répond qu'à sa décharge il était énervé. Ben voyons... et les autres fois, il était énervé?
Ça promet pour lundi....
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